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Replica Cartier Red Watches Online

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Replica Cartier Red Watches Latest Reviews

Watches News

  • Cartier - My first trip to Russia


    Chaque mois, Eric Nussbaum, directeur de la "Collection Art de Cartier", presente une page de la riche histoire de la prestigieuse marque parisienne.
    Eric Nussbaum, le directeur de la Collection Cartier, se souvient avec une fidelite emouvante de sa premiere exposition dans la ville des tsars. Elle venait a peine de retrouver son nom de Saint-Petersbourg.
     
    En ete 1992, je me suis rendu a Oxford pour ecouter, un dimanche matin, une conference sur la poesie byzantine donnee par mon ami Yannis Petropoulos, le plus jeune professeur universitaire de Grece. Jamais je n'aurais imagine que cette escapade de fin de semaine me conduirait en Union sovietique.
    Ce jour-la, nous etions invites pour le dejeuner par feu le professeur Francis Haskell et son epouse russe Larissa. Le brunch se deroulait dans le jardin a peine soigne d'une typique maison anglaise en briques. Larissa m'avait place a la droite de son amie d'enfance Marta Kryshanowskaja, conservatrice au fameux Palais d'hiver de Leningrad, plus connu sous le nom de l'Ermitage. La ville avait retrouve son nom de Saint-Petersbourg.
    Forts du succes de la premiere exposition de l'"Art de Cartier" au Petit Palais a Paris, nous rêvions tous d'aller exposer dans la ville des tsars, la où Alfred Cartier et ses fils, Louis et Pierre, avaient organise leurs premieres expositions ventes. Marta et moi nous sommes donc quittes avec des promesses: je ne tarderais pas a lui rendre visite, elle ne manquerait pas de me presenter le celebre professeur Piotrovski, tout-puissant directeur de l'Ermitage, et son assistant, Vitaly Souslov.
    Guide elegante
    A Paris, mon president, Alain Dominique Perrin, transformait mes rêveries en projet solide. Soutenu et apprecie dans cette demarche par Joe Kanoui a Geneve, qui m'avait donne la chance et les responsabilites uniques de creer une collection historique pour Cartier, au debut des annees 80. Pendant que l'equipe des relations publiques tissait les liens essentiels depuis Paris, je me suis donc rendu a Saint-Petersbourg, via Helsinki, accompagne par mon amie Nathalie Marcarian, de langue maternelle russe.
    Une premiere presentation bien documentee du projet d'exposition avait ete bien reçue a l'Ermitage. Rendez-vous etait pris dans trois jours pour regler la multitude des affaires en cours. Entre-temps, Tatiana Krieseva, guide elegante, maîtrisant un vocabulaire riche de plusieurs langues, assistee par son neveu chauffeur, nous a fait apprecier la variete des couleurs des anciens palais, rouge sang, bleu lavande, vert emeraude, jaune soleil et blanc neige. Comme celle qui couvrait, etincelante, le sol et les blocs de glace de la Neva.
    Sous les flocons de neige legere, le retour des excursions a Pavlosk et Tsarskoïe Selo etait accompagne de longs poemes de Pouchkine. Tatiana, Nathalie et le chauffeur les recitaient avec des ponctuations ferventes, me berçant vers des images de Louis Cartier presentant ses creations a la tsarina en ces lieux splendides, meritant bien les multiples restaurations en cours.

    Palais d'hiver a Saint-Petersbourg.
    Les pieces de la Collection Cartier ont ete exposees dans la salle Saint-Georges, le lieu du trône des tsars, au centre de l'Ermitage.

    Les bijoux historiques ont ete transportes sous la protection de blindes.

    Merveilles du Musee du KremlinDimanche matin, le professeur Piotrovski nous informe que son accord pour notre exposition passe par l'aval du Ministere de la culture a Moscou. A notre arrivee dans la capitale, Guenrikh Popov nous fait rapidement comprendre que s'il donne son accord, nous devrons egalement presenter l'exposition a Moscou. Les ouvrages datant d'avant la revolution seraient presentes dans une eglise desaffectee du Kremlin. Ceux d'apres, au Musee Pouchkine. A l'epoque, les deux lieux etaient diriges par deux femmes. Toutes deux prenommees Irina.Mme Rodimtseva, aussi autoritaire que sa taille etait impressionnante, nous a inities aux merveilles des musees du Kremlin: la collection des diamants, les couvertures de Bibles incrustees d'emeraudes russes et l'oeuf de Pâques imperial de Faberge, contenant la replique en miniature du train imperial travaille en platine et or qui, grâce a un ressort agissant sur les roues de la locomotive, avance de quelques centimetres.De son côte, Irina Antonova, presidente de l'Association mondiale des conservateurs de musee, imposait ses exigences avec le sourire le plus charmant. Tout allait bon train. Nous avions même obtenu une garantie d'Etat a l'attention de nos assureurs pour l'ensemble des bijoux a exposer. La selection definitive etait faite, le catalogue imprime, la mise en scene dessinee par Martine Chazal, epouse du directeur actuel du Petit Palais a Paris. Les avions de notre societe etaient prêts a decoller vers l'aeroport militaire de Saint-Petersbourg quand, soudain, l'Union sovietique disparaissait.Malgre l'incertitude regnante, le maire de cette magnifique ville historique, Anatoly Sobtchak, a garanti personnellement le bon deroulement de notre exposition, soigneusement planifiee. Apres tout, qu'avions-nous a craindre pour nos pieces exposees dans le lieu du trône des tsars, la salle Saint-Georges, toute blanche et or au centre de l'Ermitage ? Pour y acceder, on passait d'abord devant deux tableaux de Leonardo da Vinci, suspendus pres des fenêtres du premier etage, sans grillage… Les tresors collectionnes par Catherine la Grande n'ont jamais ete touches, même pendant la revolution ! Par prudence tout de même, le transfert de notre exposition vers Moscou a ete annule. Le jour convenu, des blindes nous attendaient pour transporter nos bijoux historiques. Autrefois, pour se rendre en ville, ils voyageaient plutôt en Bentley et Rolls.Danses endiableesTout s'est passe a merveille. Le matin, lors de l'ouverture, la presse etait presente au grand complet. Les catalogues, au prix de 2 roubles, se vendaient comme des petits pains frais. C'etait un moment magique. Leningrad retrouvait son nom de Saint-Petersbourg, le Kirov celui de Marinski. Le soir, Spivakov et ses solistes ont enchante les invites avec un concert au theâtre prive du Palais d'hiver. Apres quoi, toute l'audience, y compris quelques apparentes aux Romanov, se dirigea en cortege de voitures vers le palais Yelagin, cache dans une forêt de bouleaux. Pour l'occasion, il etait decore de fleurs et bougies a profusion. Une maniere de celebrer avec raffinement un dîner importe par Lenôtre. Au son d'un orchestre tzigane russe, la soiree s'acheva sur des danses endiablees.Eric Nussbaum

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